Dotée d’une imagination fertile, ROMANE SANTARELLI s’est mise à retranscrire la musique qui lui trottait dans la tête depuis un bon moment. Séduite par les possibilités infinies des instruments électroniques, elle délaisse peu à peu sa guitare. A l’aide de synthétiseurs et de boîtes à rythmes aux sonorités organiques, la Clermontoise produit des ritournelles techno entêtantes qui empruntent leur sève onirique à l’electronica, faisant d’elle l’élève appliquée et talentueuse d’un Rone ou d’un Jon Hopkins.