L’histoire de NTO, c’est celle d’une rencontre. Celle d’un gamin du Sud de la France avec la musique électronique et le dancefloor.
Après une virée au Sziget Festival à 18 ans, il fréquente assidûment La Villa Rouge et le Bar Live, deux clubs mythiques de Montpellier. La techno minimale allemande est en plein essor et Anthony Favier passe ses nuits à écouter Stephan Bodzin, James Holden ou les débuts de Paul Kalkbrenner :
“le plus gros coup de coeur de ma vie”. Le pouvoir évocateur des mélodies, la puissance du kick, l’ambiance fédératrice du dancefloor.